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Interviewé sur France 24 et Rfi à New York, aux États Unis, en marge des activités de la 77e Assemblée générale des nations unies le vendredi 23 septembre, Félix Tshisekedi a balayé certaines questions pendantes qui semaient les doutes sur sa réelle motivation au sujet de l’organisation des élections de 2023 notamment le choix sur l’actuel président de la Ceni, Dénis Kadima, la nomination du nouveau président de la cour constitutionnelle et l’organisation des élections dans le délai.

 

Au sujet du choix de Denis Kadima comme président de la Ceni, Félix Tshisekedi a rappelé que celui ci était le candidat le plus expérimenté et aguerri pour ce poste.

 

« (…) le background de Denis Kadima c’est impressionnant. C’était le meilleur parmi tous les candidats. Je ne suis pas le seul à le dire. Je crois qu’aujourd’hui cette question est vidée, même cette fameuse opposition reconnaît en lui sa valeur. Et tous nos partenaires ont aussi adoubés l’individu, donc il n’y a plus de raison de douter de ça » a-t-il répondu face aux journalistes de France 24 et la Rfi.

 

En outre, Félix Tshisekedi a précisé devant l’opinion internationale sur le dessous des cartes du choix de l’actuel président de la cour constitutionnelle. À l’en croire, il ne le connaissait même pas et ce n’était pas lui qui l’a choisi.

 

« Quant au président de la cour constitutionnelle, il a été choisi par ses pairs. Ce n’est pas moi. C’est un faux procès que l’on me fait en m’accusant d’avoir placé quelqu’un. D’abord ce n’était pas mon homme de main, je ne le connaissais pas avant qu’il soit président. Je l’ai connu juste au moment où il a été nommé à la cour constitutionnelle » a-t-il déclaré.

 

En ce qui concerne l’organisation des élections en 2023, Félix Tshisekedi a certifié que les élections auront bel et bien lieu en 2023.

 

Hénoc M.

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