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Depuis son arrivée à la tête du ministère des Affaires étrangères de la République Démocratique du Congo, Thérèse Kayikwamba-Wagner s’impose comme une figure de compétence et d’intégrité. Dans un pays où les nominations politiques sont souvent dictées par le clientélisme et le favoritisme, son ascension offre un contre-exemple éclatant. Son travail démontre qu’une gouvernance efficace repose avant tout sur le mérite et la maîtrise des dossiers.

En quelques mois, Thérèse Kayikwamba a réussi là où beaucoup de ses prédécesseurs ont échoué : redorer l’image de la RDC sur la scène internationale. Sa capacité à défendre les intérêts du pays avec fermeté et intelligence témoigne de son *profond engagement diplomatique*. « *Il est peut-être venu le temps de mettre fin aux nominations fantaisistes et de miser sur la compétence* », déclare une observatrice avisée, soulignant ainsi la nécessité d’un tournant politique.

Face aux *défis géopolitiques majeurs* auxquels la RDC est confrontée, elle incarne une nouvelle approche : celle d’une diplomatie proactive et crédible. *Ses prises de position fermes* sur des dossiers sensibles, son sens du dialogue et sa vision stratégique illustrent ce que devrait être la norme dans les hautes sphères du pouvoir.

Un exemple à suivre dans un système gangréné

 

Loin d’être une exception, la nomination de *Thérèse Kayikwamba* devrait être une règle. Pourtant, en RDC, l’attribution des postes stratégiques répond bien souvent à des logiques de clanisme, d’alliances politiques et de népotisme. Depuis plus de *50 ans*, ces pratiques ont conduit à une paralysie de la gouvernance et à un discrédit croissant des institutions.

« *Ces dysfonctionnements sont enracinés dans notre culture politique, où les nominations servent souvent de monnaie d’échange pour maintenir des alliances fragiles* », explique une analyste. Une réalité qui empêche des *professionnels compétents* de servir leur pays et qui affaiblit l’État dans son ensemble.

Mais *l’exemple de Thérèse Kayikwamba* prouve qu’un autre modèle est possible. En s’appuyant sur des *profils qualifiés* et engagés, la RDC pourrait enfin faire entendre une voix forte et crédible à l’international.

Le cas de *Thérèse Kayikwamba* ne doit pas rester isolé. Face aux défis actuels – qu’ils soient *politiques, économiques ou sécuritaires* –, la RDC a besoin de dirigeants compétents, capables d’agir avec vision et rigueur. Les nominations ne doivent plus être des *récompenses politiques*, mais des *choix stratégiques* pour le développement du pays.

L’avenir de la RDC repose sur sa capacité à rompre avec les pratiques du passé. Comme le souligne un partisan de la méritocratie :

« L’histoire retiendra ceux qui auront eu la sagesse de placer les intérêts du peuple au-dessus des réseaux d’influence. »

Il est temps d’écrire une nouvelle page de notre gouvernance, où la compétence ne serait plus une exception, mais la règle absolue.

 

Claudine N. I.

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