Décrété en 2013 par l’assemblée générale de l’Onu, le 2 novembre de chaque année, est une journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes.
La résolution s’approprie le mérite de condamner l’ensemble des attaques de toute nature perpétrées contre les journalistes.
Les Hommes de médias, plus de 1000, depuis le XXI ième siècle, ont été tués car ils tentaient d’informer le public sur les faits dont ils avaient été témoins, le cas d’Anna Politkovskaïa, abattue a Moscou en 2006.
Les évaluations internationales ont révélé qu’à peine 10% des Crimes commis contre des professionnels des médias ont abouti à une condamnation de leurs auteurs. Cette situation de quasi-impunité constitue un encouragement pour les criminels et les groupes armés se faisant régulièrement remarquer par leurs actions.
l’ONU a été Claire dans sa volonté internationale, promouvoir un environnement qui permette aux journalistes d’effectuer leur travail en toute indépendance et sans ingérence de la part des autorités.
« L’explosion de la désinformation, du harcèlement en ligne et des discours de haine en particulier envers les Femmes journalistes, entrave le travail des médias partout dans le monde. L’intimidation par l’argent ou le droit complique la tâche de celles et ceux qui cherchent à faire rendre compte aux puissants. Cette évolution représente une menace non seulement pour les journalistes , mais aussi pour la société en général « , a déclaré le secrétaire général de l’ONU.
Blessing Muayi/ Stagiaire lesmedias.net